Discorde

Et la violence des miroirs – Goodbye Sweet Sixteen.



Encre – Acrylique sur bristol A4

Mine

La vielle fibre extatique, qui sommeille au fond de mon cœur de pierre feuillé, s’est remise à vibrer. RRRaahh !!

Je réponds à la demande pressante du public en revenant à un format plus respectable. A3, ce n'est pas ce que je fais de mieux, mais c’est relativement simple à scanner.

Un baiser.

Un baiser. L’érotisme pourrait succomber avec lui. Comme sur le drapeau de l’adolescence, on pourrait y écrire « foi et raison »…

Seb James

Je voudrais juste saluer Sebastian James, un artiste que je n’ai pas vu depuis plus de dix ans mais dont je vois toujours les œuvres sur les murs de Sèvres ou de Ville-d'Avray.

Bien sûr, il ne se résume pas à cela, mais si vous avez l’occasion de passer dans les alentours, je vous invite à admirer ses fresques.

45° de plus

Quelque chose comme 3,5 ans plus tard, je me repenche sur Le Porte Poulpe. A présent, il s’agit vraiment d’un travail artistique, et non plus d’une sorte de maïeutique d’urgence.

Le problème du titre se pose toujours. J’ai découvert depuis que l’engouement chtulien pour le poulpe ne tarit pas. J’avoue que ça me casse bien les arpions.

Quand j’ai baptisé ce bouquin, c’était très intime, viscéral. Pendant sa réalisation, j’ai lu Burroughs, les Lettres du Yage, Junkie… Il parle y du Singe, « Ape ». Surprise. J’imagine qu’on peut trouver des petits noms pour sa dépendance au chocolat ou aux tapas.

C’est le frangin maudit que l’on se trimbale sur l’épaule, le siamois improvisé.