Vous, qui pénétrez dans la forêt des dieux, Craignez l'oiseau porte-lance ! Perché dans les feuillages obscurs, il guette. Le cruel androdon se nourrit des cœurs purs. De sa lance incandescente, il transperce sa proie Et dépose une goutte de feu au fond de la blessure.
3 commentaires:
Vous, qui pénétrez dans la forêt des dieux,
Craignez l'oiseau porte-lance !
Perché dans les feuillages obscurs, il guette.
Le cruel androdon se nourrit des cœurs purs.
De sa lance incandescente, il transperce sa proie
Et dépose une goutte de feu au fond de la blessure.
Un bien joli poème... Merci à toi, Anonyme !
Je ne connais que Emmanuelle pour laisser ces mots...
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