mardi 26 janvier 2016

Plexus

Ôter l'épine à blanc saignerait son porteur.


Peinture sur toile 61 cm x 46 cm

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous, qui pénétrez dans la forêt des dieux,
Craignez l'oiseau porte-lance !
Perché dans les feuillages obscurs, il guette.
Le cruel androdon se nourrit des cœurs purs.
De sa lance incandescente, il transperce sa proie
Et dépose une goutte de feu au fond de la blessure.

bertrand a dit…

Un bien joli poème... Merci à toi, Anonyme !

bertrand a dit…

Je ne connais que Emmanuelle pour laisser ces mots...