Interstice

Où le solstice d’hiver est célébré par l’effleurement.




Peinture acrylique sur toile – 50 cm x 50 cm –

Intention Panoramique [²]

Pantomime photographique autour des fjords et du poisson lyophilisé.

Peinture acrylique sur toile 50 cm x 50 cm

Traoù Mat

L'histoire de cette image a commencé avec la crève et se termine avec la crève...
En miroir, telle l'autre moitié ingérée du pur beurre breton.




Peinture acrylique sur toile - 50 cm x 50 cm

Apex — ici Malakoff

Ou du transfert à la collectivité des moyens de production artistique.



Peinture acrylique sur toile 54 cm x 65 cm —

Pâte à Sèvres et galipot.

Modelage vert salé, jeux de ballon, thé... Loukoums aux pistaches ?




Peinture acrylique sur toile 33x24 cm

JCB Von Bangor

Ultimative Jean-Claude — Maçon insulaire —


Acrylique sur toile 40 x 50 cm

JC blanchi

Hier, j'ai commencé cette déplaisante toile où, j'ignore pourquoi,

j'ai collé une fausse oreille au pauvre Jean-Claude.
Ce matin, j'ai passé cette toile au blanc de zinc. Au prix où sont les toiles...

Les disciples du numérique diront que rien n'est perdu.

My need is such / I pretend too much

Expo 4 / 7 septembre 2008 -Vieille église de Maisons-Laffitte


Le belle église et le beau sanglier de Virgil. Tremblez, bourgeois !


Avec Kaju. Lui même à ses propres côtés. La classe, en somme.


M.D. Qui fait mine de s'imprégner.

Possession du cube

La petite fripouille, le sud filtré par les persiennes entrebâillées.




Peinture acrylique sur toile 38 cm x 55 cm

Guillaume K.

Et nous prenons nos habitudes dans le quartier latin, car nous sommes des gros rebelles…


Peinture acrylique sur toile 38 cm x 55 cm —

Par deçà les secrets.

Un facétieux m’a écrit : « Tu as l'art de faire ressortir la part d'ombre de chacun dans tous tes portraits. »
Même si je suis très client des œuvres comiques, je m’en voudrais de tomber dans un si ambitieux dualisme.



Peinture acrylique sur toile 38 cm x 55 cm

EZ

Où l’on apprend l’art des écrans de fumée.



Peinture acrylique 46 x 55 cm

Robert

« Je vous emmerde », quand il adressait aux autres. « Vas te coiffer », quand il s’adressait à moi, et « vivement ce soir qu’on se couche » était son « amen ».
Tous des cons, de toute façon…



Acrylique sur toile 38 x 46 cm – Cliquez pour agrandir.

Dissymélode

Peinture acrylique sur toile – 33 x 41 cm

On souligne, parfois agacée, mon inclinaison au transfert massif et ultra rapide. C’est parfois très drôle. A la longue ?..
Avec les portraits, les personnalités, les faits se mélangent. Endomorphismes palmaires et faciaux.
Quelle est l’histoire ?

Sona-Sartre

Représentation de la jeune E. broyée et recrachée par la forge infernale de mes névroses.
Chimérisé avec JP. Sartre qui passait par-là.

Peinture acrylique sur toile – 46 x 61 cm

Vous avez dit Rock Progressif ? Nan !

Immortaliser ses potes, c’est se figer aussi soit même, bichonner son espace nostalgie.
Immortaliser des potes qu’on n'a pas vus depuis longtemps, c’est également se filer un coup de marbre ! Ah !

- Peinture Acrylique sur papier 29,7 × 42 cm. Vous pouvez cliquer.

Carreau

Les graphistes et les plasticiens qui prétendent conceptualiser autre chose que leurs propres névroses, lorsqu’ils n’obéissent pas aux lois du marché, me font bien marrer.
Si l’on interroge Wikipédia à propos de Bertrand Lavier (je ne vise pas ce pauvre homme en particulier, mais le fait est que j’ai eu le bonheur d’admirer Brandt sur Haffner non loin d’un porte bouteille de l’Autre quand j’étais gosse) on peut lire : « Bertrand Lavier interroge les rapports de l'art et du quotidien ainsi que la nature de l'œuvre d'art en plaçant dans un environnement socialement identifié comme lieu d'exposition d'œuvres d'art … »
C’est là qu’il est important de vous dire que mon fils a la même passion. Depuis quelques mois, il empile des cubes polychromes, les expose et baptise son œuvre Le Grand Phare. Ou encore, dans le même esprit, il empile des modèles réduits d’automobiles et s’écrit : « Statue Voiture ! » (sic)
Mon fils est un Nouveau réaliste de deux ans et demi.

Ictus Premier

Hommage à mes jours clairs sans neurones et sans souci.


Peinture acrylique sur toile – 46 x 61 cm

Clopagonale || Ant and a pill

Ajouter du consumable nécessaire à la lutte.
Aujourd’hui, d’inspiration poitevine et rockeuse.



Peinture acrylique sur toile 46 x 62 cm – Cliquez pour agrandir

Le Carnaval des Vains

C’est un de ces jours où l’on a envie de singer le Klingon en se drapant d’un tapis francilien.



Peinture acrylique sur toile 55 x 46 cm — Cliquez pour agrandir

Ann et la Chaise Rouge.

On compte les cailloux pour éprouver leur absurdité.
On peint autant pour recracher que pour préserver.
Je suis On parce Je est sourd à ce qu’il se dit.



Peinture acrylique sur toile 27 x 41 cm — Cliquez pour agrandir

Maria Messias | Through the Looking-Glass

Quand je suis un miroir mutique. Quand on me croit déformant. Ou encore lorsque mes mots glissent insensiblement sur la cible.



Acrylique sur toile 55 x 46 cm

Maison Rouge - Heaven's On Fire

Où l’on ressuscite nos quinze ans en rompant le pain alors que Kiss tourne sur la platine.



Acrylique sur papier 29,7 × 42 cm – Cliquez pour agrandir

Paris Hilton bourrée

Je note que lorsque je cesse les nénettes in naturalibus ce blog est déserté…

Renée, la menuisière.

La scieuse, l’architecte sur billot, la rouleuse de plateau à fromages tournant en bois précieux.



Acrylique sur papier 29,7 × 42 cm – Cliquez pour agrandir

En attendant...

Les filles de Londres attendent des petits bébés.



Acrylique sur papier 29,7 × 42 cm | Click to enlarge !

Singerie

Le presque vieux singe pas lassé de faire des grimaces.
Sans clope, sans gomme. Un vide. Terrible.


Acrylique sur toile 55 x 46 cm

Etat de siège au « Canard » : le film en V.O.

Ou lorsque je comprime la tête du pote. C’était bien la peine de prendre la pause, M. T.



mai 2007

Censure

Le site amical des internautes désœuvrés Myspace ne m’a pas censuré une, mais six images ! Un dessin, une photo et quatre peintures !

Je peux comprendre cette manœuvre en ce qui concerne Motus* également intitulé Equilibre. Ce n’est pas du porno, un débat sur le porno serait vain et j’ai raison. Mais bon, c’est du sexe, ok.
En revanche, je ne pige pas bien pour le reste.
Il s’agit d’art, bordel !
Parmi les œuvres incriminées, nous avons Cupid in Love. Damned ! J’ai représenté le zizi de Cupidon !
Et encore dans Discorde… Oh ! des Seins…
Red Pas Dry ? La moitié.

A longueur d’année, les vendeurs de slips, de bagnoles et autres téléphones portables nous inondent de corps dénudés, mais malheurs à vous si vous commettez un dessin ! (Sur la pub.)

En outre, si on m’a tout bien expliqué, cette censure fonctionne par délation. Youpi. Donc, un(e) internaute désœuvré(e) a rempli 6 formulaires de délations !

Quel bonheur, merci.

*Je ne mets volontairement pas de lien, si tu as + de 18 ans tu retrouveras la peinture en question.



Les victimes… Ce n’est pas si grave car ce n’est pas les meilleures.

Vanité Cinquante-six

Acrylique de la mort, Cliquez pour agrandir

Dimanche :
Pourquoi ai-je tant de mal avec M. Sweeney Todd ?
Pouf, pouf…
Comment un personnage aussi baroque, aussi torturé, mû par la vengeance, ne me va-t-il pas directement dans l’artichaut ?

Et bien, c’est ça le problème. Je ne l’ai pas senti, pépère. Le lyrisme Burtonnien ne m’a pas atteint. Damned ! Johnny Depp en David Vanian sanguinaire (promis j’arrête là les jeux de mots pour non-initiés) m’a mis très mal à l’aise.
C’est sans doute l’âge. Peut-être réclamerais-je aujourd’hui un amour impossible dans Dawn of the Dead…

Vanité Vingt-trois

Ma vanité est volute.
Elle était douce la petite chambre carrée. Elles étaient sourdes comme le vent, les planches sur la plage.
J’enfle mon ombre, je ploie mon poumon et pince le clope entre mes doigts.
Nous marchions, fiers ensembles.


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Souffle Las

Il faut croire que mes inspirations se passent d’exubérances ces derniers temps. Le souffle n’est pas plus court ni trop calme. Assurément trop perplexe.
A force d’exigence, peut-on devenir stérile ? Aujourd’hui, le temps est un ennemi.

La gomme ou la craie.

Je n’aime pas laisser parler les images. Peut-être pour orienter les questions. En ce moment, on a tendance à m’attribuer certaine inspirations. Je n’ai pas vraiment d’avis car je n’ai jamais été vraiment nourri du cubisme ou de l’expressionisme.
Ca ne pourrait signifier qu’une chose : Que je suis graphiquement très, très en retard. Et que si je dois me retaper tout le cheminement du XXe siècle… Merde alors !

Ultimative Mézigue GREY

Il est bien loin le temps où je rêvais de corps lisses.
J’aimerais bien tenir le tordu qui a suggéré à son compagnon de mettre sa main devant sa bouche pour dissimuler son bâillement. Celui-ci aussi qui a dit qui ne faut pas éructer après son gaspacho.
Je précise parce que c’est bon après un gaspacho. Après un cassoulet, c’est particulièrement dégueulasse.
Voilà ce à quoi je pense. A la superficialité déconcertante de ce qui nous fait nous.
Je suis certain que s’il avait des mains, l’éléphant ne s’abaisserait pas à faire des autoportraits.

Quand on s’occupe de ma pomme.

On ne vous l’a pas dit, mais noël, c’est ma fête. Aussi, des petits malins s’amusent à se payer ma tête.
Pierre-Paul H.
Manu XYZ.

Merci, les amis !

Myspace Déserts Bonnafous

Alors je l’ai fait. Ouais… Je n’ai pas fini d’analyser la chose.
Je crois que ça fait partie de cette tendance, dans laquelle je me vautre avec la plus grande indécence, qui consiste à être partout et nulle part.
Tout ce temps que l’on passe à se montrer, c’est du temps que l’on ne passe pas à créer. Pour preuve, ce billet n’est pas illustré.
J’y suis.
Je n’ai pas encore commencé à flooder dans tous les sens et pourtant je suis déjà débordé ! C’est surprenant… Alors je te le dis, toi qui n’as pas encore mis le pied dans l’engrenage : Prends garde ! Ah, ah !
http://www.myspace.com/bonnafous