mardi 9 juin 2009

Un corps sur trois – w.i.p.

Figer l'instant. Instiller le mouvement qui n'est plus. Refrain, refrain, refrain sur les mêmes nerfs.

Un corps sur trois – w.i.p.

- Détail -

2 commentaires:

erwannbrun a dit…

C'est étrange, mais en avançant, tes toiles conservent un aspect théatral, ou, comme dans cette dernière un aspect ballet russe contemporain.

bertrand a dit…

C'est parce que "la vie n'est qu'une ombre qui passe; un pauvre comédien — qui se pavane et s'agite durant son heure sur la scène" et puis parce que j'ai toujours un bonne dose d'humour involontaire comme l'avait feu Georges Marchais :]