Il est bien loin le temps où je rêvais de corps lisses.
J’aimerais bien tenir le tordu qui a suggéré à son compagnon de mettre sa main devant sa bouche pour dissimuler son bâillement. Celui-ci aussi qui a dit qui ne faut pas éructer après son gaspacho.
Je précise parce que c’est bon après un gaspacho. Après un cassoulet, c’est particulièrement dégueulasse.
Voilà ce à quoi je pense. A la superficialité déconcertante de ce qui nous fait nous.
Je suis certain que s’il avait des mains, l’éléphant ne s’abaisserait pas à faire des autoportraits.